À mes sept millions compagnons de pathologie essaimés de par le monde, les disciples de Sir James Parkinson, qui se seraient bien passés de cette galère,
À mon éditeur Jouvence, suisse comme ma grand-mère, qui m’a ouvert ses bras et dont le nom rajeunit tant ses auteurs que ses lecteurs (si, si, essayez, vous serez surpris),
À Marie-Cécile, ma moitié, qui compte double tout en restant entière.
À mes enfants Joséphine, Rodolphe, Auguste et Basile qui ont toujours fait semblant de rire à mes blagues surtout quand elles ne font rire que moi.
À mon père Claude, qui est mort avant de savoir que j’étais le Son of Parkin et non le sien. Vivant, il ne s’en serait pas remis… et lui aurait sûrement réglé son compte.
À ma petite Odette, ma mère, qui me disait chaque jour que « dans la famille, on a de la chance, on n’est pas malade » mais se rongeait de culpabilité à l’idée qu’elle aurait pu m’avoir mal engendré.
À mes trois âmes soeurs pour leur soutien indéfectible depuis ma naissance (douze lustres déjà mais pas encore de quoi éclairer Versailles),
À mon kiné Slim, à ma psy Mona, et à mon neurologue le Docteur Z…, à qui je témoigne de ma profonde reconnaissance tout en préservant leur anonymat,
À mes amis qui le resteront s’ils achètent ce livre et en font la promotion, en échange de cette dédicace,
Et à ceux que je n’oublie pas, mais que je ne souhaite pas citer, par respect pour leur discrétion naturelle que j’apprécie au plus haut point.